Ouh lalala sa fait du bien tout ça ( 23|12 , 09h30 ) h o t

Cela faisait vraiment du bien de bien dormir. Ce lit était tout à fait reposant. Brenna, qui est une lève tôt, pouvait très bien rester dans le lit assez tard pour profiter de ce merveilleux lit. Quoiqu’il en soit, il lui serait impossible de rester dans un lit aussi longtemps. Bref, elle sentait qu’on l’avait embrassé sur le front. Elle se tourna de l’autre coté. Elle se réveilla enfin. Elle se leva pour se diriger vers la salle de bain. Arrivée, elle se lava les dents, et coiffant bien ses cheveux. Ensuite, elle partit en direction de la cuisine. Elle avait envie d’un bon verre de lait. Elle passait vers les toilettes et elle entendit un cri, on dirait de plaisir. Elle eut un petit rire qu’elle devait cacher en posant sa main devant sa bouche. Brenna ouvrit la porte en trombe et découvrit, en fait, que Maximilian faisait son petit pissou. Elle ferma la porte, pour pas qu’on les voit, se mettant directement dos à lui.

BRENNA ~ « Oh, excuse moi. Je pensais que tu faisais autre chose. » Dit elle en essayant de ne pas rire.

Elle pouvait comprendre que cela soulageait de faire pipi, c'était tout naturel, mais crier de plaisir à ce point. Elle se demandait si il n'avait pas faire autre chose avant de se soulager dans les cabinets. Ce qu'elle en pensait hein... En tout cas, elle restait toujours dos à lui, posant ses deux mains sur ses oreilles pour ne pas entendre le bruit du liquide se verser dans le trou de la cuvette.

BRENNA ~ « Ah ça c'est certain, je ne vais pas trop m'approcher mais ne t'éternise pas quand même hein. »

Elle eut à nouveau son petit rire. Rien de penser à ce qu'elle avait pensé quelques minutes plus tôt...

BRENNA ~ « Quand je pense que je pensais que tu faisais autre chose. Je suis qu'une belle idiote mais toi aussi, pourquoi crier autant de plaisir quand tu te soulages dans les toilettes ? Qu'est ce que ça donne quand tu fais l'amour avec une femme hein ? »

Elle tapa sa main dans sa bouche. Quelle cruche elle ! De quoi elle parlait. C'était le matin, elle n'était pas totalement réveillée... L'excuse bidon, nous le savons tous....

Elle n’avait vraiment aucune envie de se retourner et d’apercevoir le sexe du jeune homme. Non, elle n’avait pas la phobie du sexe masculin, faut pas s’imaginer des choses, mais elle ne voit le sexe d’un homme que quand elle est « en couple » avec celui-ci. Enfin passons.

BRENNA ~ « Je me retournerai quand tu auras terminé. C’est plus juste. »

Restant toujours dos à lui, elle eut presque les gros yeux. Elle ? Aimer ça ? Non. Non catégorique. Quoique… Peut être… Mais pas dans des toilettes, ça paraît inimaginable de s’exciter ainsi sauf que, dans cette maison, les toilettes étaient, peut-être, le seul endroit que les habitants pouvaient avoir comme intimité, donc, elle pouvait comprendre qu’il puisse crier ainsi. Ses mains restant à peine sur ses oreilles (elle entendait quand même ce que disait Maximilian), elle tourna la tête pour apercevoir le visage de celui-ci, lui adressant presque un sourire honteux limite gêné.

BRENNA ~ « Je pensais que tu te masturbais. Excuse-moi d’avoir pensé cela mais en entendant ses cris, mon imagination a travaillé. »

Elle n’avait aucune honte à le dire. Et puis, dans cet endroit, il n’y avait aucune caméra et ils pouvaient tout se permettre, enfin presque. Elle lui adressa un clin d’œil en coin.

BRENNA ~ « Allez, je te laisse terminer ton petit pissou. Cela dit, il est vraiment long ton pissou. Tu as bu quoi avant de dormir ? »

Peur d’un sexe masculin, et puis quoi encore. Elle ne trouvait pas que cela soit utile pour qu’elle puisse poser son regard sur cela. Et puis, il est juste qu’ils étaient partenaires, il ne devait avoir aucun tabou. Et puis, laissons le coté pudique de coté, après tout, il avait failli voir sa poitrine non ? Face à sa réflexion, elle a failli rire encore une fois. Elle n’y pouvait rien. C’était incontrôlé. Retirant ses mains de ses oreilles, elle se tourna enfin. Elle lui adressa un sourire taquin.

BRENNA ~ « Ah oui ? Vraiment ? Et comment j’étais dans tes pensées ? Nue ? Avec des poses sexy ? Dit moi tout...» Lançait-elle d'un ton mi-provocateur.

Elle s’était rapprochée de ce dernier, déposant un baiser à coté de ses lèvres, un petit bonjour du matin, dirons-nous. Son regard dévia légèrement sur le sexe du jeune homme. Elle n’avait jamais pensé qu’il aurait un sexe satisfaisant. Elle pose ses yeux sur le jeune homme, lui faisant un petit sourire presque coquin.

BRENNA ~ «Tu ne penses qu’on ait fait pour être ensemble ? Enfin, je veux dire en fonction de nos atouts… Ma poitrine, ton sexe… Mes courbes, tes tablettes de chocolat… »

Elle devenait complètement folle. D’habitude, elle ne disait pas ce genre de choses, du moins, pas à sa connaissance. Elle n’avait eu aucune gêne, rien du tout. Après tout, les mots qui sortaient de sa bouche étaient sincères. Elle ne regrettait absolument rien.

Des trucs... Elle s'imaginait les diverses trucs qu'elle pouvait leur faire. Penser que dans ses pensées, elle faisait certaines choses à lui et à son ami, faudrait que la Brenna de ses pensées puisse se calmer. Elle s'était raclée la gorge en reposant son regard sur Maximilian. Elle gardait un somptueux sourire sur les lèvres. Elle lui répondit par un clin d'œil suivi de quelques mots.

BRENNA ~ « C'est assez rare que je puisse me tromper mais cela m'arrive aussi. Je ne suis pas une sainte.» Répondit-elle d'un ton qui se voulait sensuel.

Assis, à présent debout, elle repensait à la dernière fois. Elle avait, certainement, regretté de l'avoir repoussé ainsi pour une broutille, elle l'avouait intérieurement. Cela dit, peut être que cela allait se reproduire. Il se rapprochait d'elle : ça allait peut-être commencer. Elle répondit à son sourire provocateur, avec un regard qui s'y accompagnait. Commençant à ouvrir sa petite veste qu'elle portait, elle posa ses mains sur le torse du jeune homme, en dessous de son haut, afin que ses mains puissent ressentir la chaleur de Maximilian. Elle se rapprocha de lui, fermant doucement les yeux, ses lèvres posées sur les siennes, lui donnant un baiser digne de Brenna.

Elle avait besoin de moment de tendresse, d’amour. Elle avait de l’amour à faire partager. La personne qui allait en bénéficier était Maximilian. Elle lui procurait un bien. Elle ne pouvait l’expliquer. C’était une sensation étrange mélangé à des sentiments inexpliqués.

BRENNA ~ « Tu es adorable. » Lui répondit-elle en lui souriant.

Laissant Maximilian déboutonner, bouton par bouton, sa veste en jeans, elle ne quittait pas les lèvres du jeune homme. Elle lui procurait, lors de ce baiser, de la tendresse, de l’émotion. La jeune femme mettait ses réflexions de coté. Là, il n’y avait que Maximilian et Brenna, tout simplement. Dos à la porte, avec sa main, elle la ferma à clé afin de ne pas être dérangé.

Contre le mur, ses lèvres étaient toujours posées sur celles du jeune homme, ses mains parcourant, à la fois, son torse et son dos. Elle releva doucement le chemisier du jeune homme, petit à petit. Ses lèvres vinrent se séparer des siennes, les déposant sur le cou de Maximilian.

Elle sentait qu’il voulait être un mec tendre à cet instant, sans vouloir la bousculer. Elle appréciait cela. Elle eut un sourire à ses paroles. Un sourire non moqueur. Un sourire presque amusé.

Ses lèvres aimaient être en contact avec les lèvres du jeune garçon. Elles aimaient également être en contact avec d’autres parties de son corps bien sculpté. Se retrouver un peu seuls sans les présences qui y avaient à l’intérieur de la maison, cela faisait du bien pour le moral. Elle était en compagnie de son partenaire d’aventure, une relation qui fonctionnait, apparemment bien… Elle ne pouvait pas demander mieux. Elle pouvait se satisfaire de peu de choses.

Lui offrant des bisous au niveau de son cou, avec son aide, elle réussit à retirer le chemisier du bel homme, se retrouvant ainsi torse nu. Sa jambe posée sur sa hanche, il caressa les fesses de la jeune femme. Des caresses agréables. Mordillant légèrement la lèvre de Maximilian, elle se remit à l’embrasser d’un baiser fougueux, ses mains baladant sur son dos, son bas du dos et sur les fesses du jeune homme.

A présent, il se trouvait dos au mur. Brenna voulait lui procurer des sensations de plaisirs mélangé à des sentiments. Elle lui offrit quelques baisers à son cou, son torse et sur ses abdominaux.

C’est une nouvelle expérience. Il ne lui avait jamais été donné de faire ce genre de choses dans les toilettes. L’aventure de Fake Lover, en Irlande, l’entrainait à connaître de nouveaux endroits, d’autres horizons. Faire ceci dans les toilettes, elle ne l’avait jamais fait. Même dans une cabine d’un avion. En y pensant, elle devrait faire une liste des lieux où elle avait partagé ses savoirs corporels à ses compagnons.

Brenna menait le début de leur aventure en ce lieu. Ils étaient comme en intimité. Rien que eux deux, leurs corps savourant l’un et l’autre. Des baisers par ci, des baisers par là, c’était tout ce qu’il y avait de plus sensuel mais torride à la fois. La température montait d’un cran, ne redescendant pas avant que ceci soit terminé.

Maximilian s’amuser avec son soutien gorge. Elle avait l’impression qu’il avait vraiment envie en cet instant. Elle avait la même impression à son égard. Il lui procurait des sensations très étranges. Elle en avait terminé de ses baisers, malheureusement. Les embrassades du jeune homme sur son ventre et sa poitrine l’a stoppèrent dans son élan. Elle voulait qu’il lui procure du plaisir et il était juste en train d’en procurer. Elle se retenait d’émir un moindre gémissement. Les bretelles de son soutien gorge descendirent le long de ses épaules. Elle posa ses mains au niveau de la ceinture de Maxou, détachant cette dernière de son pantalon avant de déboutonner ses boutons.

Pour vous dire honnêtement, la jeune femme savait qu’il avait du faire ceci à quelques habitantes de la maison, si ce n’est pas toutes les habitantes. Soit il avait envie d’elles ou alors ce sont elles qui le chauffe assez pour qu’il puisse y avoir quelque chose entre l’homme et la femme. Brenna avait essayé de lui résister au début mais rien y fait. Fallait rester logique, si Cupidon de les avait pas « réuni », rien de tout ça ne serait passé ou peut être que si, en tout cas, ce n’est pas cela qui changera grand-chose à leur aventure.

Elle avait envie de lui, tout comme lui avait envie d’elle. Elle n’allait pas faire ceci avec tout les hommes de la maison, ce ne serait, franchement, pas dans ses manières, même les plus folles. Elle se laissait, à présent, totalement faire. Elle le laissait prendre la situation en main. Il découvrit peu à peu la généreuse poitrine de notre avocate. Approchant ses mains, il commençait à les caresser, elle ferma les yeux, se mordillant la lèvre inférieure. Il devait cesser de lui procurer autant de plaisir, sinon une tigresse passerait par là. Déboutonnant le pantalon de Maximilian, elle le fit glisser lentement le long des jambes du jeune homme. Stoppant le pantalon à mi chemin, elle vint effleurer tout doucement le sexe du jeune homme – par envie – avant de se remettre à le faire descendre doucement.

Il était complètement fou. Je suis certaine qu’il sait que notre belle avocate apprécie énormément ces gestes et ce qui allait avec. Brenna sentait vraiment la température monter, elle dut même se ventiler le visage en levant les yeux au ciel. Elle ressentait, via le souffle de Maximilian, que son cœur battait à une vitesse fulgurante. Elle avait même eu peur qu’il lui arrive quelque chose par sa faute. Elle fut soulagée assez rapidement, encore une chance. Pour tenter de faire calmer son cœur, elle déposa un doux baiser sur ses lèvres.

Il caressait sa poitrine et celle-ci bombait au rythme de procuration de plaisir. Il embrassa sa poitrine. Elle roula légèrement ses yeux. Il faisait tout pour la rendre dingue. Dingue de lui. Sa main gauche rejoignit ses mains posées sur ses fesses. Il la regardait avec un sourire qui voulait tout signifier. Elle le lui rendit, se mordillant une nouvelle fois sa lèvre inférieure. Elle avait fait exprès d’effleurer le sexe de notre tombeur de ses dames. Elle était toujours impressionnée par la longueur de son sexe mais qui allait s’en plaindre ? Pour garder la chaleur a son niveau actuel, elle lui offrit un baiser des plus torrides. Le contact de ses lèvres l’avait manqué.

Le voici en caleçon. Lorsque son regard était fixé sur le sien, elle était comme perdu dans ses yeux océans. A cet instant, cela confirmait qu’ils étaient bien que tout les deux. Oubliant la présence des habitants dans chaque recoin de la maison. Son cœur battait à du cent à l’heure. Malgré tout, elle sentit qu’il descendait doucement, lentement, son caleçon. Pour sa part, elle vint retirer son soutien gorge, le laissant un instant sur sa poitrine, histoire de faire durer le suspense. Son caleçon reposait par terre. Levant doucement son genou, ce dernier effleura le sexe de Maximilian, le regardant d’un air – j’ai envie de toi, tout de suite -. Sa main se posant légèrement sur le sexe du jeune homme.