Une semaine sans toi ... ( 19.12.09 - 22H54 )

Sujet créé pour Adriel.

Jessica se trouvait dans la chambre de Don Juan. Allongée sur un des lits, la chambre était vide. Pas un chat. Pieds nus, la jeune femme portait une jupe noire, arrivant à mi-cuisse et un tee-shirt - plutôt moulant -vert pomme avec un logo d'un groupe de rock irlandais vers sa poitrine. Ses longues jambes étaient croisées et la demoiselle lisait un livre qu'elle avait emmené. Les Hauts de Hurlevent d'une des seurs Brontë. Bien sur, elle aurait pu participer à ce qu'il se passait dans le salon, mais elle préférait un peu être au calme. Ces candidats étaient très nombreux, presque une classe et le bruit était un peu insupportable, à force. Mais elle resterait ici un moment et après, elle irait se joindre aux groupes. La jeune femme ne comptait pas faire sa solitaire. Même si cela ne la dérangeait pas vraiment.

La jeune femme avait fait la recontre d'Alec, charmant italien. Etaients-ils devenus amis ? En tout cas, c'était sur la bonne voie. Elle avait revue Adriel aussi. Adriel ... Elle essayait de ne pas trop penser à lui, après tout ... Enfin voilà ! Ils étaient dans un jeux et ils devaient se faire une place, elle ne voulait pas être un poids pour lui. Et puis, c'était étrange. Tout. Tout était étrange dans ce nid d'amour.

Jessica continuait de lire cette histoire d'amour impossible. Ce n'était pas sa première lecture et sûremnt pas sa dernière, comme un film, elle aimait le relire de temps à autres. Parfois seulement des chapitres et d'autres fois, le livre en entier, comme cette fois-ci. Plongée dans sa lecture, elle ne voyait plus rien utour d'elle. Les mots se changeaient en images, elle aimat cette sensation, lire n'était pas une punition, c'était une béndiction. Lire, c'était bien plus que des mots, c'était ... Juste génial.

Et puis, alors qu'elletournait la page, elle vit une forme se mouver doucement à côté d'elle. Elle sursauta et, ele reconnu bien vite la personne. Un rire explosa alors hors de sa gorge. Elle avait eu peur, mais une fois ce sentiment passé, elle se demandait ce que fichait Adriel, à quatre pattes. Entre deux rires, elle parvînt à dire :

" Tu ... as perdu quelque chose ? " Posant son livre à côté d'elle, la demoiselle se pencha alors. Son décolleté fut bien sur mis en valeur par cet acte anodin qui n'était pas prémédité.

La demoiselle voulait se rendre utile, rien de plus. Et si Adriel avait perd uelque cose de précieux ? Jess n'aurait pas aimé perdre quelque chose, le garçon non plus, c'était sûr.

Alors que Jessica cherchait des yeux le sol de la chambre de Don Juan, Adriel se rappochait encore d'elle. Jusqu'à ce qu'il trouve ses lèvres. Ils partagèrent alors ce baiser avec passion. Et puis, il frola de sa main, ses hanches puis sa poitrine, évidemment, la demoiselle se mit à frissonner et plaça une de ses mains sur la nuque du garçon, le forcant à s'approcher encore plus de lui, continuant ce baiser tant attendu.

Et puis, le garçon rompit ce baiser, ce geste sur son corps pour se mettre à parler. Il parla ensuite d'Alexis. Adriel se plaça ensuite sur elle un instant pour passer de l'autre côté et s'installer avant d'avoir jeté son livre - Esperons qu'il ne soit pas abimé, sinon Adriel ne pourrait plus marcher ! Ou pas ... - Enfin bref, la demoiselle se mit à soupirer de lassitude.

" Arrête de parler d'Alexis. " Lui demanda-t-elle. Non, Jessica ne lui dirait rien. Parce qu'il n'y avait rien à dire. Alexis était un sombre idiot et Adriel était tout le contraire. La jeune femme ne voulait pas se disputer avec son petit-ami à cause d'un garçon qui ne rerésentait rien pour elle, pour eux. Jessica s'approcha du visage d'Adriel et y déposa un doux baiser sur la joue, puis encore un, et encore, tout en se rapprochant de sa bouche. Son dernier baiser se fit sur la comissure de ses lèvres. Non, Alexis n'était rien face à Adriel.

Jessica regardait les lèvres d'Adriel qui s'elargissaient en un sourire suite à ses baisers. Elle était bien avec lui. Le garçon prit sa cuisse et la fit s'installer sur son bas ventre, une jambe de chaque côté de sn corps. Sa jupe noire se releva donc, la demoiselle pouvait sentir le jeasn de l'homme sur ses cuisses nues, seul le fin tissus de son sous-vêtement empêchait la demoiselle de complêtement sentir le jeans, plutôt rêche, d'Adriel. Le garçon emprisonna ensuite ses poignets, la demoiselle posa ses mains à plat sur sa poitrine et ne put que fixer le jeune homme.

Le garçon se mit alors à parler. D'Alexis. Du fait qu'elle soit partie du jeu de l'après-midi. D'une cachoterie quelconque. De son entrain pour ne plus parler d'Alexis. Jesica ne sû quoi répondre. Devait-elle tout lui dire ? Tout, quoi ? Elle ne savait même pas ce qu'il se passait. La demoiselle était mal à l'aise, parler d'elle, ce n'était pas vraiment son truc. S'auto-annalyser non plus.

" Je ne sais pas par où commencer. " Souffla-t-elle à son amant. " Je trouve que ce jeux tournait vraiment trop sur le sexe et, enfin, je ne suis pas du genre à me vanter de mes experiences sexuelles ou érotiques... Et puis, Alexis faisait référence à une tromperie et puis ... " Regardant le plafond un instant, une tromperie. Jess n'avait jamais trompé quelqu'un et ne commencerait pas dans cette émission. Elle regarda ensuite Adriel dans les yeux. " On s'est embrassé cette après-midi. Lui et moi. " On, ils avaient été deux cette fois-ci. Elle avait cédé. Un quart de seconde peut-être, ou plus longtemps, elle n'en savait rien.

Alexis jouait avec elle, il n'arrêtait pas, mais pendant ce baiser, il n'avait pas été cet arrogant garçon, il avait été attendrissant. Peut-être que cela avait été un piège, finalement. Il voulait faire rompre le couple de la maison. Il avait peut-être réussi. Mais Jessica savait une chose essentielle, elle voulait Adriel. Alexis n'était rien. " Ecoute, il n'arrête pas d'essayer de ... Enfin c'est stupide, je ne me crois pas le nombril du monde mais, j'ai l'impression qu'il me cherche tout le temps. Et je n'aime pas ça. " Conclut-elle. Elle s'attendait déjà à se faire pousser sur le lit et à voir Adriel partir, énervé.

Adriel ne voulait plus la regarder. Il était énervé, exaspéré, dégouté. Elle l'était tout autant. Jessica avait fait une erreur et le garçon qu'elle appreciait ne lui pardonnerat sûrement pas. Cela n'avait été qu'un baiser. Autrement dit, rien. Adriel commença alors son discours assassin. Il n'en avait pas après Alexis mais après elle. Jessica chauffait Alexis ? QUOI ? Ses doigts s'agripèrent alors à la chemise du garçon, de rage. Les joues en feux, elle le foudroyait du regard.

" Je ... Je quoi ? Je chauffe Alexis ? C'est ... Mais c'est faux ! Quand est-ce que j'ai fais quelque chose de ce genre ? La première fois que je lui ai parlé, quand j'étais assise les yeux fermés près de la piscine ? Après ton depart des toilettes, quand il m'a foutu la trouille ? Ou bien quand j'étais en train de manger ce midi avec mon pull à col roulé ? " Les bras de la demoiselle tremblaient tellement elle s'accrochait au tissus. Elle resserra ensuite ses cuisses entre-elles, Adriel ne partirait pas avant d'avoir entendu ce qu'elle avait à lui dire.

" Alors, OUI ! J'ai peut-être répondu à son baiser pendant un quart de seconde mais si il arrêtait de me tourner autour comme un chien qui veut son os, ça m'arrangerait ! " Elle avait failli. Elle savat qu'elle étaiten tord. Mais la tentation d'un baiser avait été trop forte. Un baiser ! Qu'elle avait regrettée à la seconde d'après. C'était injuste de lui en vouloir de la sorte. C'était injuste de dire qu'elle vait chauffé Alexis. Jessica avait de nombreux défauts mais pas ceux-là.

L'irlandaise lâcha alors le tee-shirt d'Adriel, elle tira un coup sec pour libérer ses poignets. De surprise, Adriel les avait lâchés. Elle ne pleurerait pas. A la place, elle s'enleva du corps du jeune homme et se remit à sa place, sur le côté, regardant le vide. Adriel n'était pas encore parti, elle pouvait le sentir encore sur le matelas. Les yeux de Jessica s'embrumèrent enfin.

Se remettre en question ? Non. Il pensait qu'elle n'avait pas de caractère, c'est parce qu'Adriel ne connaissait pas Jessica. S'il l'avait connu, il aurait su. Il aurait su qu'elle ne pouvait pas repousser les gens comme ça, sans un remord. Elle l'avait fait quelques fois par le passé et cela n'avait jamais rien apporté pour l'autre. Jessica voulait comprendre. Compendre pourquoi Alexis agissait comme cela. Comprendre les gens. Et puis, elle avait essayé de le repousser, par ses paroles. Elle ne comptait pas user de la force, Jessica ne se battait jamais et ne commencerait pas aujourd'hui. Peut-être qu'Adriel avait raison. Finalement, elle n'avait pas de caractère. lle était peut-être faibl. Faible de croire que dans chaque personne se trouvait quelque chose de bon, qu'il suffisait juste de gratter un peu sous la carapace ds plus durs. C'était surement utopique, Jessica ne laisserait pas cette idée de côté. Elle était comme ça, c'était elle. La seule erreur commise fut de rpondre à ce baiser, un moment d'égarement, un moment où Alexis lui avait montré ce côté humain, peut-être qu'elle avait été berné. Qu'importe, elle n'avait pas le droit de continuer ce baiser. Elle le savait. Elle l'avait fait.

Ravalant ses larmes, la demoiselle ne voulait pas inerser le rôles. Elle ne devait pas penser à elle. Elle n'était aps le centre du monde, pas vrai. Dans l'histoire, c'était Adriel qui devait lui en vouloir. Pas l'inverse. Il n'était pas parti, il était restée près d'elle. La jeune femme se tourna alors, changeant de côté. Elle le regardait, il regardait le mur d'en face.

L'irlandaise posa alors délicatement sa main sur le bras d'Adriel. " Je suis désolée. Vraiment. " Que pouvait-elle dire d'autre ? Il ne voulait plus lui parler, sûrement plus la toucher.

Hurler sur Alexis. Elle y songerait. Elle le ferait. Pour Adriel. Elle ne voulait pas l'humilier. Jessica ne voulait aps qu'on le prenne pour " le cocu du nid d'amour " déjà parce que c'était complêtement faux et d'autre part, parce qu'il ne méritait pas ce genre d'humiliations. Adriel était quelqu'un de gentil, en règle général. La démoiselle écouta sa brève réponse, comment devait-elle le pendre ? En tout cas, elle ne le prit pas dans le bon sens. Il était vexé. C'était compréhensible. Et puis, il se leva. Etait-ce fini ? Alait-il partir, mettant fin à cette discussion, à cette dispute. Au lieu de cela, il se déshabilla et se glissa sous les couvertures, à côté d'elle. Il était à côté mais paraissait tellement loin. Il s'excusa ensuite, il était fatigué. Jessica était à présent assise sur ce lit, elle le regarda un instant dans les yeux, lui ne la regardait pas.

" Je vais te laisser ... Dormir. " Murmura-t-elle alors, un brin maternel.

Elle ne voulait pas le laisser. La demoiselle voulait se serrer contre lui, elle voulait l'embrasser. C'état idiot. Pour toutes les raisons que seuls Adriel et elle savaient. Alors qu'elle lui avait annoncé son départ, elle était toujours présente, sur ce lit. Elle s'apprêta enfin à partir. A contre coeur. Le temps arrangera les choses. Ou pas.

Alors que résignée, Jessica allait partir, on attrapa son poignet. Adriel la retenait pour ne pas qu'elle parte. Elle ne put que le regarder en ecarquillant les yeux. Alors le garçon ne voulait pas qu'elle parte de ce lieu. Mieux, il voulait qu'ils dorment ensemble. Pour montrer cela, le garçon lui montra une place vide qui l'attendait. La demoiselle se leva un instant et enleva sa jupe noire. Elle se trouvait à présent en sous-vêtements et en tee-shirt. Pour dormir, un soutien-gorge n'était pas des plus confortable mais elle ne se sentait pas partir vers ledressing, l'enlever et finalement revenir. Elle nevoulait pas quitter cette pièce. Elle ne voulait pas le quitter. Lorsqu'il serait endormi, elle l'enleverait.

Ses longues jambes se glissèrent alors sous les couvertures. Une fois qu'elle fut dans le lit, elle recouvrit son corps de la couette puis alla se lover près d'Adriel. La demoisele ne parla pas. Que dire ? Lui répéter qu'elle était réellement désolée ? Non. Jessica posa sa tête sur l'oreiller et se rapprocha du visage du garçon. Elle vint alors embrasser l'épaule d'Adriel et lui prit la main. Le garçon était fatigué alors il vallait mieux le laisser tranquille, surtout qu'il était également énervé. Enervé contre elle. Cette situation était tout de même étrange. Adriel était vraimen énervé contre Jess et Jess était vraiment déçue de son propre comportement. Malgré cette émission, ils étaient vrais, l'un envers l'autre.

Jessica et Adriel étaient l'un contre l'autre, comme un couple qui ne venait pas de se disputer. Comme la dernière fois, dans les toilettes. C'était plutôt étrange, non ? Après chaque dispute dans ce nid d'amour- causé par le même garçon - les deux tourteraux finissaient l'un contre l'autre. C'était peut-être ce qu'il y avait d'interessant chez les deux jeunes gens. Il se mit à embrasser son cou, la respiration de la demoiselle se fit alors plus saccadée, elle ne le repoussa évidemment pas. Après avoir rompu le lien de leurs mains scéllés, celles d'Adriel parcourèrent le corps de Jessica, plus précisément sa poitrine pendant que cette dernière se contentait d'une main dans les cheveux d'Adriel et l'autre posé sur son torse frolait lentement sa peau chaude. Le garçon remarqua alors qu'elle n'avait pas retiré son soutif et Jessica se mit à rougir quelque peu, surtout que les caresses prononcées du bel homme faisait réagir sa poitrine sans qu'elle ne puisse rien y faire.

Et puis, Adriel prévint la demoiselle qu'il allait l'en débarasser, ce qu'il fit sans tarder. La jeune femme ne répondit rien, se contentant de l'embrasser avec passion. Une fois le soutien-gorge dégraffé, l'irlandaise le retira complêtement, passant chaque bretelle par ses bras, laissant néanmoins son tee-shirt sur cette belle poitrine qui n'était plus retenue. Jessica fit voler son soutien-gorge de façon à ce qu'il arrive près de sa jupe, elle ne comptait pas le laisser à la vue de tous mais en même temps, elle se voyait mal se lever et le ranger avant de revenir près de son amant. A la place, la demoiselle se réinstalla. Le souffle court, elle prit la main d'Adriel qui avait jusque là touché sa poitrine avec le tissus et le replaça sous son tee-shirt. Elle déposa ensuite sa main sur son sain nu. Il pouvait en plus de sentir sa poitrine, sentir les vibrations de son coeur qui battait la chamade, prêt à exploser. Jessica, les joues en feux regarda alors Adriel d'un regard intense et passioné.

La poitrine de Jessica se soulevait rapidement. L'excitation, la panique, la peur, le désir, le stress, tout se mélangeait. La main brulante d'Adriel sur cette poitrine n'arrangeait guère les choses, mais c'est elle qui l'avait voulut Il ne l'avait pas forcé, loin de la. La demoiselle avait chaud, il faut dire que la situation n'arrangeait rien, Adriel était collé à elle et ils étaient recouvert par des couvertures. Le prix de cette furtive intimité résidait dans la chaleur. Non seulement les caméras mais également les habitants rendaient leurs gestes impossibles. Ils n'étaient pas libre, on pouvait les surprendre d'un moment à l'autre. Et puis, Adriel se mit à parler. Pas une menace, un doux avertissement. Son amant lui prit alors une de ses mains et la fit descendre vers son ventre puis son bas-ventre. Les doigts de la demoiselle frolèrent le tissus bombé par l'excitation du garçon. Regardant en même temps les yeux clairs de son amant, les doigts de la demoiselle frotèrent un court instant cette bosse qui n'avait nullement besoin ce supplice suplémentaire. Finalement, il remonta la main de Jess vers ses hanches et elle n'en bougea pas.

Vers le haut, Adriel avait prit possession des lèvres pulpeuses de la brune et cette dernière continuait avec plaisair le baiser devenu rapidement intense. Adriel faisait pression de son bas-ventre sur celui de l'irlandaise. Ondulant quelque peu, la demoiselle mit fin au baiser.

" On ... ne va pas ... Faire l'amour ... Adriel. " Murmura Jessica, espacé par plusieurs baisers. Ce n'était pas un ordre mais plutôt une suppication. S'il continuait, elle ne pourrait peut-être pas arrêter et pourtant, ils le devaient. Sans vraiment y faire attention, la main de la demoiselle se retrouvait une nouvelle fois sur le tissus gonflé d'un Adriel qui n'en pouvait plus vraiment.

Jessica avait le souffle court, sa main posée sur le boxer d'Adriel rencontra la main du garçon, ce dernier fit en sorte qu'elle caresse le tissus, ce qu'elle fit, peut-être avec un peu trop de vigueur pour une femme qui ne voulait pas continuer ce jeux, d'après ses propres propos. Elle regardait toujours les yeux verts de l'habitant puis, elle vit ses dents mordre sa lèvre, aucun doute, il appreciait. Et puis, Adriel lui répondit quelque chose d'assez surprenant. Il ne comptait pas arrêter. Pour seule réponse, elle pu sentir la main d'Adriel qui se faisait entreprenante sur sa poitrine et le gout de sa langue sur les lèvres de la belle. Il acheva sa phrase en faisant référence à leur dscussion, sur son caractère. Au lieu d'être exaspérer, la demoiselle embrassa furtivement ses lèvres.

Ensuite, Adriel changea leur position. Prenant ses cuisses, elle s'attendait à se retrouver à califourchon sur lui, au lieu de cela, il la glissa et c'est elle qui fut en position d'inferiorité. Le tee-shirt vert pomme de l'irlandaise était relevée, seule sa poitrine était couverte par ce tissus vert. Une culotte cachait également son intimité, à part ça, Adriel pouvait voir son corps et il ne s'en privait pas. Les baisers d'Adriel brûlaient sa peau, le plaisir prenait la place de la raison. Elle tenta une dernière chose : " Ta famille... Va nous voir. " Elle ne pouvait pas dire " Notre " puisque la demoiselle n'avait pas de famille. Cependant, Adriel ne fut pas vraiment perturbé à l'idée que sa mère les regarde faire l'amour.

Jessica était néanmoins réservée, les cameras, les habitants, le désir, le plaisir. La jeune femme, les jambes écartées pour laisser Adriel dans son aisance, remuait ses hanches, bien malgré elle. Elle pouvait sentir son intimité, malgré sa culotte et son boxer. Elle le voulait, après tout, il n'y avait rien de mal à cela.

" Je... Prends les choses en main. J'arrête. " Sa voix était déterminée et pourtant elle continuait de se trémousser sous les caresses de son amant.

N'allait-il pas la laisser ? Jessica devait-elle tout contrôler ? Comment pouvait-elle freiner ses ardeurs ? En avait-elle vraiment envie ? Adriel était là, contre elle, à embrasser son corps brûlant, voulait-elle vraiment que cela s'arrête ? Il lui embrassa la poitrine, soutenant d'abord son regard, elle finit par fermer les yeux et ne se trémoussa que plus. La main d'Adriel caressa ensuite sa cuisse et arriva vers le bord de son sous-vêtement, il s'arrêta néanmoins et pressa son bas-ventre avec une telle intensité que les tissus ne servaient presque plus à grand chose. Un gemissement sorti alors de la bouche de l'irlandaise qui n'en pouvait plus de se faire caresser et embrasser.

Adriel reprit alors la parole sur un air de défi. Il voulait que Jess lui montre qu'elle ne voulait pas lui faire l'amour, ici et maintenant. Comment pouvait-elle lui dire alors que sa bouche parcourait sa poitrine, que leurs intimités se touchaient, se frolaient, se caressaient. Comment pouvait-elle lui résister plus longtemps ? Adriel pensait qu'elle n'avait pas de caractère ? Il se trompait néanmoins.

Ouvrant les yeux, la demoiselle regarda alors les yeux émeraudes du garçon. Se relevant un peu, elle s'appuya sur ses coudes pour arriver tout près du visage d'Adriel. " Ma petite culotte restera où elle est. " Dit-elle avant de l'embrasser avec passion.

Adriel répondit un court instant au baiser de Jessica avant de lui répondre et de rire. Elle en fit les yeux ronds. Il arrêta enfin de rire et claqua ses cuisses entre elles, signe qu'il arrêtait là pour ce soir avant de reprendre la parole. Effectivement, l'irlandaise n'était pas des plus rude avec ses amants, elle aimait la douceur et en usait. D'ailleurs, elle était douce un peu tout le temps, sauf lorsqu'on l'enervait où là, elle haussait la voix. Mais à part cela, elle n'était pas du genre bestial. Peut-être qu'Adriel lui reprochait cela ... Devait-elle se dévergonder un peu plus ? Peut-être que certains hommes le voulaent mais elle resterait la douce Jessica. Si Adriel voulait une femme qui lui ferait sauvagement l'amour dans un lieu insolite, il s'était trompé de personne. Bien sûr, Jessica n'était pas contre innover mais encore fallait-il lui demander. Elle pouvait faire des efforts si on lui demandait.

Le garçon lui donna alors le surnom de Jessichoute, ce n'était pas vraiment méchant, même pas du tout, heureusement. Adriel se mit alors sur le côté, lui montrant son dos. La demoiselle s'alongea alors convenablement sur le lit, remettant convenablement la couette sur leur deux corps et ...

... A l'abri des cameras, la main de Jessica se posa sur le dos d'Adriel qu'elle se mit à légèrement griffer tout en descendant. Arrivée sur l'elastique du tissus, le demoiselle laissa entrer quelques phalanges de ses doigts dans le boxer. La demoiselle se mit à caresser du bout des doigts le fessier d'Adriel avant de longer l'elastique du boxer de son compagnon. Plus elle laissait filer sa main, plus elle se rapprchait de cet amant qui la désirait toujours. Une fois ses doigts arrivés au côté face du garçon, elle se stoppa. Elle ne touchait pas encore l'intimité du garçon de ses doigts qui flirtaient seulement avec le haut du bas-ventre de ce bel homme. Déposant un baiser sur son épaule, la jeune femme murmura. " Bonne nuit mon coeur. "


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