on sait tous ce qu'on vient y faire, mais on n'en parle jamais ... ▬ 29.12.09 ; 19.37

j'avais envie d'aller aux toilettes, et bien oui il fallait bien y aller au moins une fois par jour. je venais donc de finir ce que j'avais à faire, il n'y avait pas d'odeur forte dans les toilettes, bref, tout était niquel, je me lavais les mains et commençait à penser à autre chose, je me souvenais de mes jeunes années, des années scout, durant lesquelles il y avait eut des camps avec le feu de bois, les tentes et les toilettes creusées à même le sol, ce souvenir me fit sourire mais un souvenir en apportant un autre, des années plus sombres me vinrent en tête, me faisant respirer plus difficilement, même si tout ceci était du passé il était difficile d'accepter d'avoir été aussi bas ... aussi sale ...

- allez reprends toi, tout ça c'est finis maintenant ...

me disais-je en revenir au présent et en retrouvant mon souffle et mon sourire, maintenant je n'avais plus de soucis à me faire, tout ça était bien derrière moi et il n'y avait aucune chance que ça recommence, j'aurai toujours du savon, des toilettes et de quoi manger.

Comme tout être humain normalement constitué Alexis avait des besoins... Certes son appétit sexuel pouvait parfois semblé hors norme mais en ce qui concernait le reste il fonctionnait comme n'importe qui d'autre. Alors qu'il se dirigeait vers les toilettes, il fut devancé par Grégoire qui apparement était pressé. Le laissant passé devant lui sans que celui-ci ne le remarque Alexis attendit derrière la porte.

Après quelques instants, le brun ne semblait toujours pas sortir ce qui commença tout doucement à enerver Alexis. Il avait été sympa de lui laisser sa place et maintenant voilà qu'il faisait surement tout autre chose dans les wc... N'en pouvant plus il poussa la porte et lança.

- T'as besoin d'aide peut-être?

ne sachant pas que quelqu'un s'impatientait derrière la porte, il est vrai que je prenais mon temps, la surprise fut alors visible sur mon visage lorsque je vis entrer alexis comme une furie. m'aider ? me donner un coup de main ? devais-je prendre cette phrase à double sens ?

- je pense pouvoir m'en sortir seul, mais si ton envie est pressante, il suffisait de frapper à la porte.

je n'avais pas compris pourquoi il était entré dans les toilettes, c'est vrai il s'en était suffit de quelques minutes pour qu'il me trouve assis sur le trône en train de faire mon affaire. mais soit, il était maintenant entré et cette pièce était si petite qu'il m'empêchait de sortir, se trouvant posté devant la sortie unique.

- je pense pouvoir m'en sortir seul, mais si ton envie est pressante, il suffisait de frapper à la porte.
- T'aurais très bien pu être entrain de crever ou de faire un mal aise je sais pas moi, y a pas de camera dans cette foutue pièce...

Il soupira, ses attentions n'avaient pas été de le surprendre sur le fait accompli. Il avait juste été trop curieux puis avec tout ces secrets, Grégoire pouvait très bien être diabétique ou pire et courire des risques et puis il n'aimait pas attendre, impatient de nature.

- J'ai attendu, attendu et t'es jamais sortit. Et sache qu'Alexis ne toc jamais sur les portes.

Il rit doucement tentant de détendre l'atmosphère. Il n'allait pas s'excuser non plus?

il s'inquiétait ? il ne l'avait pas dit en mots mais c'était ce que cela signifiait, c'était surprenant de sa part mais néanmoins très agréable. je réfrénais un sourire pour ne pas le mettre mal à l'aise mais je me souviendrais de cet égard.

- tu n'as pas attendu des heures quand même, tu es un peu trop pressé je trouve. il faut prendre le temps, c'est comme ça que tu appréciera mieux les choses, finalement c'est comme le sexe ....

je ne sais pas pourquoi j'avais sorti cette comparaison, j'aurai put dire comme un plat lentement mijoté ou encore un vin travaillé avec soin et qui grâce au temps avait développé toute sa savoir et son arôme. mais non ! c'était le sexe ... à croire qu'il n'y avait que ça dans l'air lorsque nous étions ensemble dans une pièce.

La réplique eut raison d'Alexis qui explosa de rire. Bonne comparaison en somme toute mais le faisant rire tout de même, il dut s'assoir sur la cuvette afin de reprendre son souffle tout en lançant par intermittence des regards vers Grégoire. Le jeune homme n'avait jamais été patient et ce depuis ça naissance, il avait toujours été le premier et apprécier d'être le premier. Attendre ça n'était pas fait pour lui et sa famille l'avait très vite compris. FInalement calme il reprit la parole.

- Très bonne comparaison mon Greg! Fit-il le sourire au lèvre

Puis il se releva. Il comptait laissait le jeune homme finir. Alors qu'il tentait de passer à gauche, Grégoire s'esquivait du même côté. Poli il se tournait alors vers la droite en même temps que le français. Il rit devant leurs bêtise.

- Alors comme ça tu ne comptes pas me laissé sortir?

je l'avais amusé, c'était là le bon point, moins aussi je m'étais mis à rire ; il fallait avouer que niveau bourde je n'étais pas le dernier, alors plutôt que de ce mettre à pleurer, autant valait-il s'en amuser. je gardais donc mon sourire, bien que je savais qu'avec alexis une conversation pouvait se transformer en une seconde, qu'avec lui on pouvait passer du sourire au larmes en un rien de temps. puis sans le vouloir nous nous empêchions de sortir de cette si petite pièce. un coup à gauche, un coup à droit, tous les deux dans la même cadence, un rythme à faire sourire.

- te laisser sortir ? mais pourquoi ça ? la promiscuité de cette pièce peut être un atout ...

lors du prime j'avais décidé d'entrer dans son jeu, je jouer moi aussi les allumeurs express, et advienne que pourra. je m'approchais donc de lui un peu plus, j'attendais de voir sa réaction.

Une nouvelle fois la réaction de Grégoire le surpris. C'était maintenant lui qui le provoquait et Alexis qui tentait de s'enfuir, le monde à l'envers en somme.

- te laisser sortir ? mais pourquoi ça ? la promiscuité de cette pièce peut être un atout ...

La mine du brun fut d'abord destabilisée et surprise, il ne savait pas trop comment réagir. Il n'avait pas prévu de rentrer dans une quelconque jeux à l'instant. Mais grégoire ne semblait pas décidé à le laisser sortir...

- Alors Grégoire, on a plus peur du grand méchant Alexis?

Rentrant dans le jeu, il se sera encore plus contre le brun, le bloquant contre la porte et fermant le verrou.

voilà, il entrait dans le jeu, je devais prendre garde à ne pas me faire avoir une fois de plus, ne pas être pris au piège du désir. je le regardais faire, il me colla contre la porte et ferma le verrou à clef me faisant alors sourire. je le regardais à nouveau dans les yeux.

- plus d'échappatoire .... désormais tu ne peux plus t'enfuir.

j'attrapais alors sa nuque pour approcher son visage du mien et l'embrassais avec passion, collant mon corps au sien et sentant le désir monter en moi, j'avais envie de me laisser aller mais je restais pourtant sur mes gardes craignant qu'il ne décide de me laisser une fois de plus sur ma faim.

- plus d'échappatoire .... désormais tu ne peux plus t'enfuir.

Alexis arcqua un sourcil à la conclusion du jeune homme. Il le surprenait vraiment apparement décidé à entré dans le jeu et de visiblement y resté. Le londonien n'avait jamais aucun problème avec sa sexualité, lorsqu'il était attiré il jouait et se laissait aller. Femme la plus part du temps? Homme pourquoi pas? Il n'avait jamais fait une croix sur l'éventualité.

Le musicien se laissa donc faire quand décidé à prendre l'initiative Grégoire l'attira contre lui pour l'embrasser. Leurs corps l'un contre l'autre, Alexis pouvait sentir le désir du parisien grandir une nouvelle fois. Alexis lui rendit bien sur son baiser avec passion resserant encore plus l'étreinte, puis il y mit fin le sourire aux lèvres.

- Je n'irais pas plus tant que tu n'auras pas dit d'où viens ta cicatrice...

tout était bien parti, non pas que j'imaginais qu'il irait jusqu'au bout mais sa question eut pour effet de me refroidir complètement. je le regardais dans les yeux, je voulais sourire mais mon visage restait figé, je voulais qu'il croit que tout cela n'avait plus d'impact sur moi mais mon corps ne m'obéissait plus, il fallait que je me reprenne.

- je te l'ai déjà dit, c'était un accident, il y a des années de ça maintenant.

ne voulant pas m'étendre sur le sujet, j'échangeais nos place rapidement le plaquant contre la porte et attaquant sa ceinture tout en l'embrassant, les lèvres d'abord puis le cou.

Grégoire ne semblait pas vouloir s'étendre sur le sujet, mais Alexis n'était pas prés non plus à laissé tombé... Mais il pourrait l'espace d'un instant faire un exeption, pour Grégoire et puis surtout parce qu'il commençait à être vraiment excité par les caresses du brun. Sans lui laissé l'occasion de lui répondre, celui-ci prit ses lèvres avec passion. Le désire de Grégoire à son égard était presque palpable et Alexis appréciait ça.

Alexis redressa sa nuque lorsque les baisers du brun descendirent dans son cou, il laissa échappé un râle de plaisir alors que ses mains s'attaquaient à sa ceinture. Il était complêtement esclave des mains du parisien ne pouvant bougé ainsi coincé derrière la porte.

je lui hottais enfin son pantalon, et me collais tout contre lui, je sentais qu'il se laissait aller, c'était tant mieux, enfin je pouvais me détendre et ne plus être sur la défensive, je ne m'attendais plus à ce qu'il me laisse en plan, il allait resté, du moins je le pensais.
plus aucun mot n'était utile, pendant que je glissais ma main dans son boxer, mes lèvres continuaient leur chemin dans le cou d'alexis, j'attendais qu'il en fasse autant avec moi maintenant, mon corps commençait à brûler, je sentais la fièvre montrer en moi, dans cet espace si réduis il fit chaud rapidement. ma respiration s'accéléra, ma main libre se dirigea sous le t-shirt de l'anglais, en appuyant ma paume contre son dos je le faisais se coller contre moi.

Le pantalon d'Alexis fut rapidement à ses pieds et la main un peu froid du jeune homme glissa dans son boxer lui extirpant un nouveau frisson et un léger gemissement. Non cette fois Alexis n'allait pas décamper, il avait envie de Grégoire tout comme Grégoire avait envie de lui. Il avait finit de se poser des limites, du moins pour ce soir.

Il se laissa encore faire pendant quelques minutes avant d'à son tour parcourir le corps musclé du Parisien de ses mains. Il se sentait légèrement fébrile surement dû à cause du désire qu'il éprouvait. La tension sexuelle entre Grégoire et lui il l'avait sentit à l'instant où il avait remarqué la façon dont le jeune homme déposait son regard sur lui, il y voyait du désire et de la passion.

Alexis prit les lèvres du jeune homme tendit qu'une de se mains se mettait à serrer l'intimité déjà durcie par le désire de Grégoire. Sa deuxième main se mit alors à débouttonné lentement sa chemise au fur et à mesure que ses baisers descendait encore et encore. Il serrait à présent son entre jambes contre la sienne avant de lui arraché sa ceinture faisant tombé par la même ocassion son pantalon.

Ils étaient maintenant tout deux l'un contre l'autre entrain de s'embrasser avec passion. Avec force, Alexis fit tombé Grégoire sur la cuvette des WC visiblement fermé et s'assit alors sur lui serrant à novueau son sexe contre le siens.

en sentant la pression d'alexis je me mis à sourire et ne pu retenir un léger gémissement. je sentais aussi son excitation, chaque gémissement de sa part était une jubilation pour moi, le désir grandissant chez nous se fit bientôt insupportable, je l'embrassais avec fougue ne voulant pas qu'il s'arrête. il me déshabillait et j'adorais sentir ses mains sur moi.

c'est alors qu'il me poussa sur les toilettes, j'étais maintenant assis et il se mis sur moi m'excitant encore plus. l'excitation était palpable chez chacun de nous, nos corps ne mentaient plus même si nos esprits se voulaient plus forts.

je retirais le t-shirt de l'anglais et le jetais par terre avant d'embrasser son torse imberbe et doux et lui enlevais enfin son boxer, je me demandais déjà comment nous allions nous y prendre, lui et moi, j'avais l'habitude de ce genre de choses mais lui ?

Alexis brûlait de désire pour Grégoire et comme d'habitude lorsqu'il ressentait ce genre de chose, il fonçait sans se poser de question. Le fait que Grégoire soit un homme, le fait qu'il ne le connaisse que depuis deux semaines... Tout ça au final ne comptait pas pour lui, il suivait son instinct et se laissait faire par le jeune homme qui devait s'y connaitre plus que lui en la matière.

Le brun lui retira son t-shirt recouvrant ensuite son torse de baiser, Alexis laissa alors échappé de nouveau soupire de plaisir. Bientôt il se retrouva nu devant l'habitant sa virilité au zénith lui montrant à quel point il était excité. Il ôta alors la chemise de Grégoire puis vit descendra aussi ses deux mains vers son boxer et se mit à le caresser de manière assez insistante alors qu'il prenait à nouveau ses lèvres.

je ne pouvais plus respirer, j'avais l'impression d'étouffer et pourtant j'étais aux anges. je retournais alors alexis et le penchais sur le lavabo, je n'avais pas l'intention de le pénétrer, pas comme ça, pas si violemment, tout ce que je faisais c'était d'embrasser son dos. je fis ensuite passer ma langue de sa nuque jusqu'au bas de son dos en suivant la ligne de sa colonne vertébrale, tout en le masturbant.

mon sourire ne s'effaçait pas. puis je le faisais se tourner vers moi et retirait le peu de vêtements qu'il me restait pour me retrouver nu face à alexis.

hot

Spoiler:

je gémissais pendant qu'il me touchait, je ne pensais pas pouvoir faire une chose pareille avec lui, très franchement notre relation n'avait pas bien commencée bien que le désir fut toujours existant et présent entre nous deux. mes lèvres sur les siennes et nos langues se mêlant.

je me retournais alors et le sentis en moi me faisant alors gémir plus fort, je sentais ses mains sur moi et ne parvenaient pas à me calmer mais je ne criais pas, ne voulant pas que les autres habitants sachent ce que nous faisions.

hot

Spoiler:

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Hot

Spoiler:

enfin soulagé, je souriais à alexis tout en l'embrassant encore. je ne savais pas si cela nous mènerait quelque part mais ce moment passé avec lui serait un souvenir mémorable.

- comme quoi les mecs c'est pas si mal ...

dis-je en souriant. j'en vint à penser à valentin, qui lui ne voudrait jamais le faire avec un garçon, puis mon esprit s'en détacha rapidement. j'essuyais alexis puis lui tendais ses vêtements tout en continuant de l'embrasser par intermittence tout en souriant. les habitants se demandaient peut être où nous étions, et un d'eux aurait surement besoin d'aller aux toilettes bientôt, il ne fallait donc pas rester là trop longtemps. je ramassais mes vêtements aussi et commençait à m'habiller.

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