La vengeance devrait se déguster chaud... sous une couverture (05/01/10 - 1h01) (jessica)

Dans la nuit du lundi au mardi 05/01/10. Allongé dans mon lit, j'essayais de trouver le sommeil et j'y étais plutôt parvenu. Je me sentais entre deux mondes, celui des rêves et celui de la réalité. C'est alors que j'entendis du mouvement de mon côté. J'avais un sommeil très léger, mes yeux s'ouvrirent instinctivement. Je me redressais et constatais que Jessica était debout à côté de mon lit. Qu'est-ce qu'il y a Jess' ? lui demandais-je en chuchotant.

Jessica n'était pas encore couchée. Elle réfléchissait trop. Mais elle réfléchissait à cause des habitants, il n'y avait plus que ça dans sa tête comme si le monde exterieur n'existait plus, comme si Cupidon était le dictateur de ce pays : Le nid d'amour. Chaque semaine, une execution au vote. L'élimination. Etait-elle en train de devenir dingue ? Surement. Jessica avait besoin de liberté, d'espace, de nature. Là, tout était faux et exigue. Finalement, aux alentours de une heure, la demoiselle se rendit dans la chambre de Don Juan. Elle n'était même pas en pyjama. Jeans et tee-shirt, pieds nus. Où était son lit ? La demoiselle était complêtement perdu ce soir là. Alors qu'elle pensait l'avoir trouvé, elle vit un habitant dedans. Comme si cet habitant était Boucle d'or et que Jessica devenait le petit ours. Elle resta plantée là, comme une idiote à regarder Valentin dormir. Un homme endormi était beau. Il se réveilla néanmoins, lorsqu'il ouvrit les yeux, Jessica fit un bond en arrière.

" Je ... Heu ... Ba c'est que ... Tu vas bien ? " Murmura-t-elle comme s'il était une heure tout à fait correct dans un autre lieu et que Valentin n'était pas une seconde plus tôt en train de dormir.

Je me demandais ce que Jessica faisait à côté de mon lit, à me regarder dormir. Est-ce que je mettais trompé de lit ? Pourtant non. J'étais bien dans le mien. Alors qu'est-ce qu'elle attendait de moi ?

Je crois que j'étais en train de commencer un cauchemar, lui répondis-je simplement. Ce qui était vrai. En fait, je devais lui être reconnaissant de m'avoir tiré de mon sommeil.

Valentin était bien dans son lit. Jessica s'était simplement trompée et elle avait été absorbée par son sommeil, elle qui n'arrivait plus à dormir. Elle en voulait à la terre entière et pourtant elle paraissait calme. Peut-être même un peu trop, presque amorphe. Jessica ne connaissait pas beaucoup Valentin. Mais il avait l'air d'être sympathique. Un gars de confiance, peut-être bien.

" Pousse-toi. " Continua-t-elle de murmurer tandis que ses mains déboutonnaient son jeans.

Une fois le jeans à ses pieds, la soutien-gorge de Jessica partit aussi vite. Heureusement qu'il faisait presque noir, comme ça personne ne la voyait. Elle seretrouvait donc en petite culotte et tee-shirt. Elle prit ensuite place aux côtés de Valentin. Les draps étaient encore chauds de son passage, s'en était presque réconfortant. Jessica en avait oublié les paroles de Valentin. Elles lui sautèrent ensuite en pleine tête.

" Quel genre de cauchemars ? " Demanda-elle dans un souffle.

Pousse-toi. Et c'est ce que je fis pour lui laisser la place de me rejoindre dans mon lit. Je ne compris pas tout de suite qu'elle était en train de retirer son pantalon. Ce n'est qu'une fois qu'elle fut allonger à côté de moi, et que ses longues jambes fines, lisses et féminines touchèrent furtivement les miennes que je pus constater qu'elle devait être en sous vêtement...
Valentin, reste concentré.

Le genre de cauchemar que l'on n'a pas envie de faire... Puis finalement je consentis à lui en dire d'avantage : J'étais dans un bar avec des amis. On riait, s'amusait autour d'un verre. Le soir. Et puis petit à petit je sentais que quelqu'un était derrière moi, juste derrière moi. Je sentais son souffle dans ma nuque. Mais quand je me retournais, il n'y avais rien. Et mes amis ne semblaient pas voir l'autre personne... J'eus un frisson, c'est comme si je sentais encore ce souffle dans mon cou. Et puis finalement, tu m'as réveillé.

Jessica était à côté de Valentin, sans même s'en rendre compte la tête de l'irlandaise se retrouva sur l'épaule nu du garçon. Comme un couple qu'il n'était pas. La demoiselle avait besoin de réconfort et dans cette maison, il n'y avait personne. Sauf peut-être Valentin. Ou peut-être pas. Il lui confia alors son mauvais rêve.

" Et tu ne sais pas qui s'était ? " Souffla-t-elle les yeux fermés. Les cheveux bruns de Jessica devaient chatouiller le visage de Valentin mais elle ne s'en rendit pas compte. Elle essayait de se calmer pour enfin dormir. Mais c'était mission impossible.

Effectivement ses cheveux me chatouillaient un peu la joue mais ça ne me dérangeait pas plus que ça. Sa tête vint se caler dans le creux de mon épaule et j'eus un sourire, content de pouvoir lui apporter le réconfort qu'elle semblait désirer.

Et tu ne sais pas qui c'était ?
Non pas vraiment. Tu sais, je ne pense pas qu'il faut chercher une certaine logique dans les rêves, ni dans les cauchemars d'ailleurs.

Et toi, qu'est-ce qu'il t'arrive ? Pourquoi tu n'arrives pas à dormir ? lui demandais-je en caressant doucement l'une de ses mèches de cheveux.

C'est vrai, les rêves ne pouvaient pas s'annalyser aussi rapidement, ça se saurait sinon. La personne importait peut-être peu. Valentin se sentait-il épié ? En même temps, dans cette émission avec toutes ses caméras... Ah moins que ce ne soit autre chose de plus important. La demoiselle acquiesça lentement la tête, n'ouvrant pas la bouche.

" Je n'y arrive pas, c'est tout. " Elle-même n'en savait rien. Depuis plusieurs jours elle ne dormait presque pas. Peut-être était-ce à cause du fait qu'Adriel l'est prise pour une demeurée, se servant d'elle quand il en avait besoin et la lâchant à la moindre occasion. Peut-être parce qu'elle avait commencé à lui faire confiance et qu'au final elle avait été déçu. A moins que cela ne concerne ni la maison ni les habitants mais que ce soit un mal-être naissant. Elle n'en savait rien. Elle voulait juste dormir. Restant calme un instant, elle posa sa main sur le torse de Valentin, afin d'être à son aise, sa poitrine collée au bras du garçon, elle ne s'en rendait pas vraiment compte. Valentin avait l'air différent. Un air... Il ne fallait bien sur pas se fier aux apparences. Mais il ne lui sauterait tout de même pas dessus. Et s'il le faisait, qui s'en soucierait ? A part elle, évidemment...

Je sentis sa main se poser sur mon torse et ses doigts passer lentement sur mes pectoraux. Est-ce qu'elle réalisait vraiment ce qu'elle était en train de faire ?
De plus, lorsqu'elle se rapprocha de moi, je compris qu'elle ne portait pas de soutient parce que je sentis ses seins contre mon bras (à travers son t-shirt).

Dis-moi, je n'ai pas suivi ce qu'il s'est passé entre Adriel et toi... Enfin je sais que vous étiez un faux couple mais il me semblait que tu avais l'air de lui en vouloir pendant le prime.

Valentin évoqua alors Adriel. Le garçon était attentionné mais collectionnait les gaffes. Une fois à parler d'Alexis et maintenant à propos d'Adriel. C'en était presque touchant. Et d'un notre côté, cela voulait dire qu'on lisait en elle comme dans un livre ouvert. Ce qui était, en fait, vrai. Voilà pourquoi la jeune femme ne se vexa pas à l'evocation du prime et det habitant.

" Il a faillit m'avoir. " Répondit-elle doucement. Faillit l'avoir, de quoi parlait-elle éxactement ? Etait-ce à propos du fait u'ils aient presques couchés ensemble ou bien du fait qu'il l'est lâché et qu'une seconde après il s'envoyait en l'air avec Iris. Ou bien qu'elle est faillit avoir le béguin pour lui. Ah non, sur ce coup là, il l'avait bien eu.

Ma main attrapa une autre des mèches de cheveux de sa jeune fille et je commençais à l'enrouler autour de mon doigt. Je savais que souvent les filles aimaient qu'on touche leur cheveux.

Je n'insistais pas après cette (trop courte) réponse de Jessica, elle ne voulait de toute évidence pas parler d'Adriel ce que je pouvais comprendre s'il avait "bien failli l'avoir". En fait, j'avais des difficultés à avoir une discussion avec Jessica parce qu'elle semblait avoir beaucoup de sujet tabou. Cela avait-il un lien avec son secret ?

Jessica sentait les doigts de Valentin lui enrouler les cheveux, provoquant un frisson à la racine de la mèche de cheveux. Frissons tout à fait agréable. Etait-elle trop entreprenante, peut-être bien. Après tout, elle avait sa main sur son torse. Mais il n'avait rien dit. Pire que l'alcool ou la drogue, Jessica ne réfléchissait plus. Comme si elle avait surchauffé... C'était une image, bien sur. Mais pour le coup, sa tête était vide. Complêtement.

" Je te plais ? " Demanda-t-elle, soucieuse. C'était une question stupide qui la rendait superficielle. Elle n'était pas une fille superficielle en général. Mais elle doutait. Adriel avait préféré Iris à elle... Elle ne se sentait pas supérieur à Iris. Cette petite depressive avait son charme. Et celui de Jessica, il était où son charme ?

Je ne m'attendais pas à une telle question de la part de Jessica, et je fus prit au dépourvu. Je... Qu'est-ce qu'elle voulait, qu'attendait-elle en demandant si elle me plaisait ? Jessica était une fille avec beaucoup de charme, des yeux et des cheveux magnifiques.

En temps normal, la situation m'aurait amusé mais j'étais fatigué, à moitié endormi (pour une fois) alors je n'avais pas vraiment la tête à jouer de ce qui était en train de se passer.

Bien sûr que tu me plais Jessica, tu es belle, agréable et douce. Mais pourquoi tu me poses cette question ?

Jessica n'allait pas très bien et elle avait besoin d'être rassurée. C'était en fin de compte, totalement superficille, totalement pitoyable et très idiot. La demoiselle avait les yeux fermés. Après tout, il n'était que tout les deux. Mais peut-être que Valentin voulait dormir. C'était sur, même. Pauvre de lui, il subissait la mauvaise humeur de Jessica.

" Je ne plais pas à Adriel. " Répondit-elle comme une évidence. Finalement, la demoiselle s'éloigna un peu du garçon, mettant sa tête sur l'oreiller et replacant sa main le long de son corps. Valentin allait être mort demain, elle ne devait pas l'empecher de dormir.

Spoiler:

Spoiler:

Adriel ne sait juste pas ce qu'il perd... lui murmurais-je avec un sourire.
Elle changea de positions, et je me rapprochais d'elle pour me placer derrière elle, son dos contre mon corps. De toute évidence, elle avait besoin de réconfort. Et allez savoir pourquoi, dans cette maison j'avais besoin de me montrer plus tendre qu'avec d'autres personnes. Quoi que, c'était plutôt être protecteur.

Jessica s'était espacée du garçon pour qu'il puisse dormir mais, à sa grande surprise, Valentin se rapprocha d'elle, se collant même à notre douce irlandaise. Jessica tourna sa tête et leurs deux visages se faisait face, à quelques milimètres l'un de l'autre. Il faisait noir, ils étaient calmes et Jessica posa ses lèvres pulpeuses sur celles de Valentin. Comme ça, sans vraiment y faire attention. Il ne protesta pas - la surprise ? - et la brunette poursuivit le baiser en y faisait pénétrer sa langue, cherchant celle du garçon. Bref, un long et doux baiser commença alors. Du moins, pour Jessica car elle ne savait pas vraiment comment Valentin allait réagir. Et curieusement, elle s'en moquait.

Et c'est ainsi que Jessica m'embrassa. Pourquoi l'aurais-je repoussé ? Elle était belle femme, elle était attirante. Je répondis donc à son baiser, puis basculais sur elle lorsque notre étreinte devint plus passionnée. Ses jambes encadrèrent ma taille pendant que nos lèvres s'unissaient pour un baiser tout aussi doux mais plus certain.

Le souple court, je séparais nos bouches. Attends attends Jessica. Il y a plein de caméras qui doivent être en train de nous filmer, et j'suis pas le genre de type qui se met en couple. Je voulais que les choses soient claires.

Valentin continua son baiser, il se mit même sur elle alors que la demoiselle passait ses jambes de chaque côté de sa taille. Leurs bouches se scellèrent plus d'une fois, jusqu'à ce que l'habitant cesse de prendre ses lèvres. Les caméras. Elle n'avait plus grand chose à craindre d'eux. Et puis ce n'est pas comme si sa mère pouvait être choqué, puisqu'elle n'en avait pas. Et entre Valentin et Jessica, tout était clair.

" C'est très clair. " Murmura la jeune femme avant de déposer ses lèvres dans le cou de Valentin. Une main se posa sur la nuque du garçon qu'elle caressa doucement alors que l'autre restait sur le drap. Etait-elle entreprenante ? Peut-être. Mais comment on dit déjà ? Rien à foutre !

Au moins j'étais sûr qu'il n'y avait pas de quiproquo, qu'elle savait que ce que l'on était en train de faire n'aurait pas de conséquence. Finalement, c'était le bon plan.

Je relevais ma tête et fermais les yeux, savourant les baisers de Jessica dans mon cou, qui était - comme pour tout le monde - une zone érogène. Ma respiration se fit rapide tandis qu'une de mes mains caressait sa jambe droite. Puis nos lèvres se renseignèrent.
Je savais où étaient mes limites, je savais ce que j'étais prêt à faire devant les caméras et ce pour quoi je ne l'étais pas. Il y clair que ça n'irait pas aussi loin que Alexis et Grégoire, j'avais ma dignité et mon entrée dans le Nid n'était pas organisée pour devenir le prochain acteur porno d'Irlande.

Jessica continuait de lui embrasser le cou pendant que Valentin lui caressait la jambe. La demoiselle ondulait le bassin avec insistance. Et puis, les deux jeunes gens s'embrassèrent de nouveau. Sans vraiment s'en rendre compte, sa main libre venait se poser sur le torse du garçon. Sa main déscendait et bientôt elle se retrouva entre ses cuisses à elles et par la même occasion sur le vêtement de cet homme, tissus couvrant son intimité. Cette main était bien évidemment caché par les couvertures, personne ne pouvait la voir et c'était tant mieux. Pendant que la demoiselle caressait avec douceur et energie le tissus, elle regarda Valentin dans les yeux. Il pouvait l'arrêter. Elle n'aurait pas été vexée. Mais d'après le gonflement du tissus, cela ne lui déplaisait pas vraiment.

Spoiler:

Spoiler:

Spoiler:

Plus tard...
Allongée contre moi, je sentis le corps de Jessica retrouver une respiration normale et posée. Nous étions nus, doucement, je passais le bout de mes doigts sur la peau de mon bras. Où cela allait-il nous mener ? Quelles conséquences allaient apparaitre de ce que nous venions de faire ? Je gardais de silence, inquiet d'aborder le sujet avec elle. D'abord, peut être s'était-elle tout simplement endormie ?

Je me dirigeai dans la chambre Don Juan calmement, j'y avais laissé mon jean au pied de mon lit et je ne tenais pas à me balader à moitié nu toute la nuit alors qu'il faisait un froid de canard. J'entrais dans celle-ci silencieusement, remarquant que la lumière était éteinte et que certains devaient surement dormir, contrairement à d'autres avec qui je discutais dehors. Je perçus soudainement des soupirs différents, ainsi que des voix, reconnaissant aisément celle de Jessica. Je restai figé, stupéfait, était-elle vraiment entrain de ... ? Mais qu'elle conne, elle croyait que personne ne remarquerait que c'était elle alors qu'elle baisait au milieu d'une dizaine d'habitants ? Je ne parvenais pas à distinguer qui était le garçon avec elle, je mourrais d'envie de le savoir, non pas par jalousie, mais parce que toutes les occasions étaient bonnes pour descendre cette imbécile. Elle se disait outrée par mon comportement mais ne c'était pas gênée pour le reproduire, et elle qui disait se respecter, se venger de cette façon était digne des plus grandes ... je me retins de l'insulter tout haut. Elle cachait bien son jeu, c'était pitoyable, et dans un soupir de rage, je sortis de la pièce après avoir saisis mon jean, la maudissant de tout mon être.

» De l'eau froide pour un corps chaud. ( 04.12.09 - 23H57 )
» L'eau chaude, ça devrait être toute la journée ! [30/12/2009 - 11h] (Adriel)
» Chris & Jessica
» Lèche moi ! (2) +JESSICA (29/12 ▬ 11:51)
» Qui vient m'exorciser ? +JESSICA (23/12 – 18:09)